Si tu as entendu parler de blockchain, c’est probablement à cause du rôle crucial qu’elles occupent au sein des cryptomonnaies. Le web3 est basé sur cette technologie. Pour comprendre les applications possibles dans le secteur de la mode, je vais d’abord t’expliquer les fondamentaux pour comprendre à quoi ça sert, comment ça fonctionne et des exemples d'applications à l’industrie textile. Enjoy !
1 - Sustainability et traçabilité
2 - Quel est le but de la blockchain
2.1 - C’est quoi une blockchain ?
2.2 - Le trilemme de la blockchain
3 - Comment fonctionne une blockchain ?
3.1 - Comment sont créés les blocs ?
3.1.1 - C’est quoi l’arbre de Merkle ?
3.2 - C’est quoi le hash d’une transaction ?
3.3 - Quels sont les membres d’une blockchain ?
3.4 - Quelles sont ses caractéristiques ?
6 - La différence entre PoW et PoS
7 - Les différents types de blockchains
7.1 - Blockchain publique
7.2 - Blockchain privée
7.3 - Blockchain de consortium
8 - Ce que la blockchain peut apporter à la mode
8.1 - Amélioration de la propriété intellectuelle
8.2 - Chaîne d’approvisionnement transparente
9 - Expliquer la blockchain simplement
Disclaimer : Le web3 évoluant très rapidement, toutes les solutions ou blockchains dont je parlerai peuvent être vouées à disparaître en fonction du moment où tu consulteras cet article. Je prendrai régulièrement Bitcoin comme exemple, étant la plus populaire, c’est plus simple pour comprendre et suivre les explications.
L’industrie textile crée à elle seule 10% des émissions de carbone mondiales.
9 personnes sur 10 issues de la génération z (nées entre 1997-2010) sont convaincues que les marques ont une responsabilité vis-à-vis des enjeux climatiques, environnementaux et sociétaux d’après un rapport réalisé par McKinsey et BoF.
L’enjeu de transparence et de traçabilité sont des problématiques de fond.
De nombreuses entreprises essaient de les résoudre depuis des années, mettant au point des systèmes à l’aide de puces NFC, QR codes et autres intégrés dans les tags des vêtements.
Ce n’est pas exclusivement associé à l’industrie textile, mais à un ensemble de marques allant du textile à l’agroalimentaire.
Après avoir échangé avec de nombreux acteurs du secteur de la mode, marques et experts textiles, je sais que ce n’est pas seulement une demande de la part de leurs consommateurs, mais aussi du marché.
Et si cette technologie était la solution ?
L’un des principaux avantages qu’apporte ce nouveau système, c’est la suppression de tierces parties, d’enregistrer, distribuer des informations au format numérique sans modification possible.
Prenons un exemple réel sur une transaction d’argent.
Si tu voulais transférer 100€ à un proche, tu devrais faire une demande de virement à ta banque.
Pour que la transaction s’effectue, le banquier vérifiera que tu possèdes ce montant sur ton compte pour le transférer.
Ce qu'impliquent ces différentes étapes, c’est que tu fais confiance à un tiers pour conserver, mais aussi transférer des sommes d’argent à une personne.
La question que tu peux te poser, c’est s’il est possible de transférer directement cette somme à ce proche sans devoir faire confiance à un tiers, c’est ça que la blockchain te propose dans le web3.
Pour résumer, cette nouvelle technologie apporte :
Lorsque l’on parle transparence, oui, tout individu est en mesure de consulter le registre public, mais ce qu’il verra, ce ne sera qu’une adresse comme un pseudo.
Pour comprendre à quoi ressemble une blockchain, qui est la traduction littérale de chaîne de blocs, visualise un bloc.
Chaque bloc contient plusieurs informations, il est connecté au bloc précédent, mais aussi au suivant.
Toutes ces informations sont stockées dans un réseau au format numérique sous forme de registre public, un peu comme celui de la banque à la différence que seules les entités autorisées y ont accès.
Ce système permet d’enregistrer et de suivre tout ce qui a de la valeur, pouvant être décomposé en 2 parties distinctes :
Si tu veux commencer à comprendre comment ça fonctionne et la façon dont s’effectuent les transactions de manière décentralisée, tu dois comprendre cette idée principale.
A contrario d’un dilemme, dans un trilemme, tu dois faire un choix entre 3 options.
Cette image fait référence à 3 notions, à savoir :
Ça signifie que chaque réseau décentralisé doit trouver le juste milieu entre la décentralisation, la sécurité et la scalabilité. Et ce n’est pas simple.
Parce qu’elles doivent faire un choix entre 2 des 3 options.
Par exemple, le réseau Ethereum et Bitcoin se concentrent davantage sur la sécurité et la décentralisation durant ces dernières années, que sur la scalabilité.
La Binance Smart Chain (BSC) optimise sa scalabilité aux dépens de la décentralisation.
Tout est une question de choix, il n’existe pas de meilleur trilemme, chacun représentant ses avantages et ses inconvénients.
En d’autres mots, le but de tout réseau décentralisé, c’est d’avoir le réseau le plus décentralisé possible, avec des standards de qualité les plus élevés, tout en gérant le plus de transactions possible (scalabilité).
Concernant la sécurité d’un réseau, comme tu dois t’en douter, c’est sa capacité à se protéger contre tout type d’attaques comme la double dépense.
La double dépense, c’est une problématique relative à tout système de devise numérique, lorsque des fonds sont envoyés à 2 destinataires différents en simultané.
Dans notre système actuel, une entité indiquée est chargée de gérer un réseau bancaire par exemple, mais ça va à l’encontre même du souhait de décentralisation. Les banques sont les seules détentrices de ce registre public et sont donc les seules à pouvoir le consulter.
Dans le cas d’une blockchain publique, tout participant ayant accès au réseau est en mesure de vérifier les transactions jusqu’au premier bloc initial (bloc de genèse). Ce qui n’est pas possible aujourd’hui dans notre réseau bancaire.
La scalabilité, c’est la mise à l’échelle. Dans notre exemple, c’est le nombre de transactions réalisables par seconde (TPS).
Plus les personnes utilisent cette technologie, plus nombreuses seront les transactions qui devront être gérées en simultané.
C’est pour cette raison que différentes couches dans un réseau sont nécessaires pour gérer ce grand nombre de transactions de façon décentralisée en termes de sécurité et de rapidité.
Pour illustrer tout ça, le réseau de paiement Visa peut traiter des milliers de transactions, jusqu’à 1.700 transactions par seconde.
La chaîne principale du Bitcoin est en capacité d’en traiter 7.
C’est à ce moment précis que tu comprends l’enjeu de la scalabilité.
La blockchain représente la première couche de ce nouvel environnement, la deuxième couche, plus communément appelée layer-2 est un outil pour augmenter la capacité d’un réseau à réaliser des transactions rapides.
De nombreuses personnes qui débutent dans la compréhension de ce nouvel univers pensent que le Bitcoin représente la blockchain.
Alors, oui et non.
La blockchain est la technologie qui a permis de créer Bitcoin.
Pour rappel, c’est une chaîne de blocs créée à l’infini stockant plusieurs informations.
Dans le cas du réseau Bitcoin, le validateur ou également appelé mineur, fournit la puissance de calcul nécessaire pour vérifier puis valider la transaction.
C’est lui qui va vérifier les informations qui lui sont transmises avant de valider le bloc.
La puissance de calcul étant utilisée dans le cas d’un réseau qui se sert du consensus de Proof of Work.
T’inquiètes pas, les principaux consensus sont expliqués un peu plus bas.
Exemple d’un bloc créé issu du réseau Bitcoin utilisant le consensus Proof of Work :
Comme indiqué ci-dessus, l’entête, c’est un peu comme un résumé.
Les éléments principaux :
Pour le définir en quelques mots, c’est une méthode pour organiser de grandes quantités de données, rendant le traitement de la data le plus simple possible.
En utilisant cette méthode de structuration, de nombreuses ressources sont économisées.
Dans notre cas, lorsqu’une transaction est effectuée, elle est moulinée pour obtenir une valeur équivalente.
C’est une opération effectuée à répétition jusqu’à la valeur finale.
C’est ce qui créera le résumé de l’ensemble des transactions du bloc pour faire au plus simple.
Dans le cas où les cryptomonnaies n’utiliseraient pas cette structuration des données, chaque vérification de bloc nécessiterait une vérification globale de la chaîne de blocs, une importante quantité de ressources et donc davantage de puissance de calcul.
C’est de cette manière que l’accès à l’ensemble des transactions est simplifié. Par cette méthodologie, vérifier si un bloc a été manipulé est un jeu d’enfant.
Dans le cas d’une modification d’une seule transaction de manière frauduleuse, la racine de Merkle serait complètement différente.
Chaque bloc est rattaché à une empreinte digitale unique. Il contient son hash, mais aussi le hash du bloc précédent sans oublier la TXID.
C’est une série de caractères qui sont créés en fonction des informations contenues dans ce bloc.
TaxID : ou transaction id, c’est une chaîne unique de caractères identifiant chaque transaction qui a été vérifiée et ajoutée à la chaîne de blocs.
En changeant une seule information dans le bloc, le hash sera complètement différent.
Dans le cas d’une différence, le bloc deviendra invalide ainsi que tous les blocs suivants.
Tous seront recalculés à partir du bloc où le hash a été manipulé.
L’intérêt d’un hash, c’est que même étant une information visible, il est impossible de faire le chemin inverse.
Pour créer un bloc, dans le cas d’un consensus similaire au Bitcoin, si tu regardes le blockchain explorer, tu verras un nombre de zéros précis avant le hash du bloc.
Si tu te demandes à quoi ça correspond, le nombre de zéro est relié au nonce.
Les mineurs doivent déterminer cette valeur. Une fois “trouvée”, le hash généré devra avoir autant de zéros que les hash précédents.
Sans quoi le bloc ne pourra être validé, c’est ce que font les mineurs.
Chaque mineur est en compétition. C’est le premier qui trouvera cette valeur, validera le bloc à qui reviendra la récompense.
Par exemple, le bloc 745497 du réseau BTC, le hash est le suivant :
0000000000000000000705c02a141bb1b64373b3a5be4f887077000ac7d57160
Le bloc 745498 possède le hash :
000000000000000000064c150710534aa29758fd7e0d645afb14341f50050887.
Dans la majorité des systèmes existants, trois membres sont différenciés :
Pour caractériser une blockchain, tu peux la visualiser comme une rose disposant de 5 couches différentes, qui déterminent la méthode de création et vérification des blocs, la rapidité des transactions, ou encore détaillent l’anonymat des transactions.
Ce nouvel écosystème bénéficie d’un cryptage asymétrique, à l’opposé du cryptage symétrique, le destinataire d’une transaction n’a pas besoin de la clé (expéditeur) pour chiffrer une information.
Ce procédé consiste à générer :
Une clé publique pourrait être considérée comme un pseudo et sa clé privée comme son mot de passe.
La clé publique est donc à la vue de tous, avec un accès possible à l’historique des transactions.
En revanche, sans clé privée, impossible de réaliser une quelconque action.
Pour résumer, imaginons que tu réalises une transaction effectuée sur le réseau BTC, tu envoies une devise virtuelle à une adresse Bitcoin publique.
Il s’agira uniquement du destinataire qui possède la clé privée lui permettant d’accéder aux fonds pour la simple et bonne raison que c’est le seul à la posséder.
Cette technologie s’ajoutant à l’algorithme de hash renforce cette sécurité.
Dans le cas d’une blockchain publique, toutes les informations sont accessibles à quiconque dispose d’une connexion internet.
Tu as donc la possibilité de consulter les transactions effectuées au sein du réseau, c’est ce qu’on appelle un blockchain explorer.
Par exemple, pour la réseau Ethereum, il te suffira de te rendre sur le site Etherscan, d’insérer l’un des 3 éléments suivants :
Dans le cas de transactions réalisées au sein de technologie Bitcoin :
Le mécanisme de consensus est l’équivalent de l’essence pour un moteur à une blockchain.
Il leur donne l’énergie nécessaire pour fonctionner, mais aussi assure la sécurité.
C’est par ce mécanisme que la sécurité optimale des transactions a été possible.
Il en existe beaucoup comme Proof of Work, Proof of Service ou encore Proof of Authority, mais je ne vais t’expliquer que les 2 principaux aujourd’hui utilisés par les principales cryptomonnaies.
C’est le mécanisme le plus ancien, littéralement traduit par preuve de travail, utilisé par la crypto-monnaie la plus ancienne, j’ai nommé le Bitcoin.
Les mineurs, qui participent au réseau, vont mettre à disposition leur puissance de calcul pour résoudre des équations mathématiques.
Pour les récompenser de créer un bloc, le moyen de paiement utilisé est évidemment par le biais d’une monnaie numérique, en l’occurrence en BTC.
Le principal avantage de ce consensus est sa sécurité, parce que ce système nécessite une puissance de calcul très importante, il est très complexe, voire impossible pour des hackers, de s’attaquer à ce type de réseau.
Même en essayant de s’y attaquer, les coûts des équipements et de l’énergie seraient trop élevés pour la somme en jeu.
C’est pour cette raison que les frais de transactions effectués sur ce type d’algorithme sont élevés.
Si tu t’intéresses un minimum à l’univers de ces nouvelles technologies, tu as dû entendre parler des problèmes de cet algorithme lié à l’écologie.
Plus il y a de blocs créés, plus les équations se complexifient et demandent de plus en plus de puissance de calcul pour les résoudre.
Tout en sachant que la rapidité des transactions laisse à désirer, c’est le prix de l’ultra-sécurisation.
À titre d’exemples des systèmes bénéficiant du PoW :
Lorsque l’on parle de consensus, de manière générale, soit on parle de PoW, soit de PoS (preuve de participation), qui est son alternative la plus commune.
Ce système n’implique pas de puissance de calcul, donc pas de minage mais requiert de miser un nombre de tokens définis dans le but de participer à la sécurisation du réseau.
À l’instar de son alternative, aucun matériel onéreux n’est nécessaire. Pour créer un bloc, un validateur devra bloquer un nombre de jetons dans la blockchain. Il sera récompensé en monnaie virtuelle.
Parce que la puissance de calcul n’est plus nécessaire, l’économie d’énergie est logique.
Ethereum compte passer du PoW à PoS pour réduire les frais de transaction, effectuer des transactions plus rapides, faire face au nombre total de transactions sur le réseau de plus en plus élevé et rendre la chaîne de blocs le plus scalable possible.
La fondation d’Ethereum estime baisser sa consommation d’énergie à 99,95%.
Oui, rien que ça.
Quelques exemples de blockchains bénéficiant de ce système :
Avant d’essayer de comprendre comment fonctionne un écosystème, il faut savoir de quel groupe elle est issue.
Elles sont partagées en 3 grands groupes distincts.
Comme son nom l’indique, il n’est pas nécessaire d’obtenir une autorisation pour participer à ce réseau.
C’est à l’heure actuelle celles dont tu entends le plus parler parce qu’elles ne sont pas adaptées au monde de l'entreprise pour des raisons de contrôle d’accès aux différentes informations.
Par exemple, Bitcoin et Ethereum sont des blockchains publiques.
Une blockchain privée est à l’opposé de sa version publique.
C’est une organisation qui gère le réseau, contrôle qui peut l’utiliser et consulter une information donnée.
C’est un système avantageux pour les entreprises qui pourront garder le contrôle tout en donnant accès à différents rôles à sa communauté ou employés sous réserve d’une autorisation correspondante.
C’est un système similaire à la précédente nécessitant une autorisation.
À la différence près que ce n’est pas une seule organisation mais plusieurs, où chaque partie détiendra des droits équivalents ou différents pour interagir au sein de cet écosystème.
Aura est un exemple dans l’industrie du luxe.
Comme dans tous les arts créatifs, la propriété intellectuelle est un enjeu crucial dans le secteur de la mode.
Aujourd’hui, pour protéger une création, tu peux :
Demain, l’approche décentralisée pourrait faciliter la gestion et la protection de propriété intellectuelle, créer un nouveau type de revenus en obtenant des commissions par le biais d’un smart contract.
Ce genre de dépôt pouvant être très cher et long, enregistrer ce genre d’informations pourrait être réalisé en un claquement de doigts.
Transférer les cessions de droits pourrait être un jeu d’enfant.
Dans certains cas, prouver la propriété des droits peut être compliqué, ce ne serait plus le cas.
Par exemple, une solution pour les photographes, Binded racheté par Pixsy qui offre la possibilité aux photographes d’authentifier la propriété d’une image.
Elle analyse plus de 150.000.000 images par jour et prévient l’artiste dès qu’elle est détectée ailleurs. En analysant non seulement le web, mais aussi différents réseaux sociaux.
Une solution plus générale que tu pourrais utiliser, c’est Bernstein qui génère également une preuve de propriété sur un réseau décentralisé.
Une technologie déjà existante, certes, mais qui n'était accessible qu’aux grandes entreprises en raison de sa complexité technique et de son coût.
Bernstein se veut le plus abordable possible, pour générer une preuve il te suffira de payer des crédits ou de souscrire à un abonnement en fonction de tes besoins.
Même si les différents acteurs de la mode souhaitaient rendre leur processus de chaîne d’approvisionnement totalement transparent, ce serait un véritable casse-tête technique.
La véritable problématique, c’est qu’il existe un nombre incalculable d’intermédiaires : sourcing, usines de fabrication, assemblages, packaging, distribution.
Avec l’essor de l’éco-responsabilité, de plus en plus de consommateurs exigent des marques plus de transparence sur les conditions de travail de ses travailleurs mais aussi sur la provenance et qualité des matériaux utilisés.
Pour rappel, l’un des principaux avantages de cette nouvelle technologie, c’est que ces informations ne sont pas modifiables.
Ces systèmes bénéficient de la cryptographie, c’est un ensemble de techniques qui assure la confidentialité entre un émetteur et un destinataire en cryptant les informations.
D’après le rapport réalisé par McKinsey sur l’industrie textile, 43% de la Gen-z achète des articles à des marques qui ont une réputation solide concernant l’éco-responsabilité.
Les deux principaux objectifs pouvant être réalisés étant la traçabilité et la transparence des chaînes d’approvisionnement de la matière première au consommateur.
En bref, chaque article est authentifiable, tu pourras savoir où il a été fabriqué, par qui, quels matériaux ont été utilisés, leur provenance et qualité.
Mais aussi les différents labels qui y sont associés.
Pour l’industrie du luxe, 798.000 articles de mode ont été saisis en 2020 par la douane française.
Chaque article de luxe pourrait bénéficier d’un “jumeau numérique” authentifiant l’origine de l’article et empêchant la contrefaçon d'évoluer aussi rapidement.
En traçant la vie entière d’un produit de mode, tout consommateur pourrait acheter un article de luxe les yeux fermés et chaque marque se réapproprier la confiance de ses consommateurs.
Pour résumer, ces nouvelles technologies ne sont pas seulement liées à la spéculation, mais une majorité d’entre elles proposent une solution à une problématique réelle dans notre industrie.
En fonction de l’utilisation des différentes couches composant un réseau de nature décentralisé, ces nouvelles solutions basées sur la technologie blockchain pourraient proposer une alternative.
Une alternative aux enjeux climatiques, environnementaux, sociétaux et de traçabilité.
Durant les prochaines années, de nombreuses entreprises, nous y compris, s’attendent à une adoption massive de ces nouvelles possibilités.
Si tu as aimé cet article, je t’invite à m’envoyer un mail depuis la rubrique contact pour nous dire les thématiques qui t’intéressent le plus, j’ai essayé d’être le moins technique possible, en espérant que ce soit clair de ton côté !
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